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Photographie | Uniformes militaires | Gardes (militaires) | Histoire | Architecture militaire | Ours | Collections de costumes | Gravure | Peinture | Bonnets | Dessins et plans | Forts | Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768) | Fortifications | Dogue de Bordeaux (race canine) | Hussards | Officiers (militaires) | Chiens de garde et de protection | Chants de guerre | Belfort (Territoire-de-Belfort) | ...
Garde pakistanais à moustache. Source : http://data.abuledu.org/URI/53727ca9-garde-pakistanais-a-moustache

Garde pakistanais à moustache

Garde pakistanais à moustache, Fort Baltit, Hunza, Gilgit-Baltistan, Pakistan.

Bonnet en poils d'ours de grenadier de la garde impériale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc625e-bonnet-en-poils-d-ours-de-grenadier-de-la-garde-imperiale

Bonnet en poils d'ours de grenadier de la garde impériale

Portrait de François Isidore Darquier (1770-1812), chef de bataillon des grenadiers à pied de la Garde Impériale de Napoléon 1er. Le bonnet en poil d'ours est un élément de l'uniforme des grenadiers depuis le XVII° siècle.

Costumes français de la fin du seizième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5308dfb9-costumes-francais-de-la-fin-du-seizieme-siecle

Costumes français de la fin du seizième siècle

Planche 70, Costumes français de la fin du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, Un garde sous Charles IX et Henri III ; 2, garde suisse ; 3, soldat ; 4-5, courtisans ; 6, Louise de Lorraine, consort de Henri III ; 7, chancelier ; 8, président du parlement ; 9, Docteur en médecine ; 10, Margaret de Lorraine ; 11, Henri III (mort en 1589) ; 12-13, Courtisans de l'époque de Henri IV ; 14, Henri IV autour de 1600.

Costumes français du dix-huitième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530a4e26-costumes-francais-du-dix-huitieme-siecle

Costumes français du dix-huitième siècle

Planche 99, Costumes français de civils et de militaires du dix-huitième siècle, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, abbé ; 2, aristocrate ; 3, citoyen. Sous le règne de Louis XVI : 4, 10, aristocrates en 1785 ; 11, officier de la garde suisse ; 12, colonel des dragons ; 13, garde grenadier ; 14, officier des hussards ; 15, membre de l'infanterie ; 16, garde du corps.

Dogue de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/516a48e5-dogue-de-bordeaux

Dogue de Bordeaux

Dogue de Bordeaux. Il est un des plus anciens chiens français. Il serait arrivé dans le sud de la Gaule à la fin de l'Antiquité (Ve siècle), avec des peuples cavaliers nomades originaires d’Asie, lors des grandes invasions. Il s'agissait probablement d'Alains, d'origine iranienne ou des Taifales voire des Huns, originaires d'Asie centrale, qui utilisaient des chiens de combat durant leurs campagnes militaires. Les Alains introduisirent notamment en Espagne une race de chiens robustes, l'Alano Español. Le Dogue de Bordeaux était utilisé pour garder le bétail des bouchers, pour ramener le gibier durant la période de chasse, pour les combats de chiens ou comme fidèle compagnon des soldats durant la guerre ou encore comme chien de garde.

Fort des Basses-Perches. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468d5d9-fort-des-basses-perches

Fort des Basses-Perches

Plan du fort des Basses Perches. Légende en français : Caserne A) corps de garde, salle de discipline, télégraphe, salle d'artifice ; Caserne B) latrines des officiers en temps de guerre, latrines de troupes, 5-8 casemates de troupe, casemates de sous-officiers, magasin aux vivres, cuisine de la troupe, magasin des ordinaires ; Autres : A abris-traverses, A1 plates-formes de tir, C urinoirs, D latrines de troupe en temps de paix, E latrines des officiers, M-N magasins à poudre, O salle d'artifice, P cartoucherie, F Forge, S-T coffres de contrescarpe, U rue du rempart. Le Fort des Basses Perches, de son vrai nom fort Valmy (François-Christophe Kellermann, duc de Valmy, maréchal, 1735-1820), a été construit entre 1874 et 1877. C'est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Il est situé sur les communes de Danjoutin et de Belfort. Ce fort a la particularité d'être équipé de coffres de contrescarpe en lieu et place des caponnières, alors qu'à cette époque, les caponnières furent utilisées massivement. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_des_Basses_Perches À partir de 1893, ce fort fut relié à un certain nombre d'autres forts autour de Belfort grâce à un chemin de fer stratégique.

Garde britannique à bonnet noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc5fb7-garde-britannique-a-bonnet-noir

Garde britannique à bonnet noir

Une sentinelle faisant partie des "Coldstream Guards" devant la Tour de Londres. Leur célèbre uniforme comprend une tunique rouge et un bonnet noir en poil d’ours (poil d’ourse pour les officiers) adopté en 1831. Il est emprunté aux grenadiers à pied de la Garde impériale de Napoléon 1er, vaincus à Waterloo en 1815 par le "1st Foot Guards" qui par la suite prit le nom de "Grenadier Guards".

Garde républicain à Élysée. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e33895-garde-republicain-a-elysee

Garde républicain à Élysée

Garde républicain à l'entrée de l'Élysée : guérites tous les 200 mètres.

Tambour de la Garde impériale. Source : http://data.abuledu.org/URI/501b0246-tambour-de-la-garde-imperiale

Tambour de la Garde impériale

Tambour de la Garde impériale (1803) par Maurice Orange (1867–1916). Musée du Vieux Granville, Maurice Orange (1867-1916), mémoire de l'Empire et images d'Orient, exhibition catalogue, 1999

Tour Santa Maria. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa65a-tour-santa-maria

Tour Santa Maria

Tour génoise Santa Maria, Cap Corse : 1) guardiola, 2) terrasse, 3) salle de garde, 4) salle de repos, 5) réserves. Les tours génoises sont des édifices en pierre de 12 à 17 m de haut sur 8 à 10 m de diamètre. Parfois carrées, le plus souvent circulaires, elles sont toujours construites sur quatre niveaux : 5) la réserve : au sous-sol de la tour ; une niche servait à ranger les vivres ; on y stockait également les munitions ; et l'eau y était conservée dans une citerne, alimentée depuis la terrasse par une conduite directe ; 4) la salle de repos : au premier étage ; parfois séparée de la salle de garde par un simple plancher sommaire et formant avec elle un espace de vie unique ; 3) la salle de garde : au deuxième étage ; percée de meurtrières pour permettre aux torregiani de guetter ; 2) la terrasse : au sommet de la tour ; pour la surveillance ; percée de mâchicoulis ou munie de bretèches, était flanquée d'une guardiola. On passait d'un niveau à l'autre par des trappes et des échelles. L'accès à la porte d'entrée se faisait par une longue échelle mobile, directement au premier étage. Les gardes habitaient à tour de rôle la pièce unique pourvue de niches et d'une cheminée, et située sous la salle de guet.